Tiens il pleut
vendredi 6 août 2010
mercredi 4 août 2010
Un temps froid
un temps chaud
un matin quelconque
des cous de poulet aux bagues d'or
le tout dans les mains
c'est tout comme ça
les bons
les vaillances
les purulences
les bons enfants
les mauvais comme de la grêle,
les terreurs
la peur
la chimère,
se noircir au parfum des fleurs,
un temps quelconque
un matin
ça s'arrange tout seul
tout dans les mains,
ça viendra,
ça vient la mort
mauvais teint gris
titube des fumées du jour,
d'une crasse,
ça s'arrange tout seul , la mort,
on n'en parle pas c'est vrai ,
des histoires d'homme ,
certains ça les prend par le ventre,
ça bouture et puis ça craque doucement,
plus rien qui tient,
ils partent par les pieds,
parce que la tête
ça passe par le ventre,
d'autres c'est le tibia,
tout sec , du verre, du bois des années durant,
ceux là , ils se brisent,
alors ils partent par la tête,
si tu touches à peine , ils se brisent,
tout sec.
Juste avant , il y avait les livres, les aimés , les aimants,
les foucades, les coups de tête, les ruades,
on se serre dans les bras,
on se tord la tête,
ça s'arrange tout seul la mort,
pas besoin d'écrire.
un temps chaud
un matin quelconque
des cous de poulet aux bagues d'or
le tout dans les mains
c'est tout comme ça
les bons
les vaillances
les purulences
les bons enfants
les mauvais comme de la grêle,
les terreurs
la peur
la chimère,
se noircir au parfum des fleurs,
un temps quelconque
un matin
ça s'arrange tout seul
tout dans les mains,
ça viendra,
ça vient la mort
mauvais teint gris
titube des fumées du jour,
d'une crasse,
ça s'arrange tout seul , la mort,
on n'en parle pas c'est vrai ,
des histoires d'homme ,
certains ça les prend par le ventre,
ça bouture et puis ça craque doucement,
plus rien qui tient,
ils partent par les pieds,
parce que la tête
ça passe par le ventre,
d'autres c'est le tibia,
tout sec , du verre, du bois des années durant,
ceux là , ils se brisent,
alors ils partent par la tête,
si tu touches à peine , ils se brisent,
tout sec.
Juste avant , il y avait les livres, les aimés , les aimants,
les foucades, les coups de tête, les ruades,
on se serre dans les bras,
on se tord la tête,
ça s'arrange tout seul la mort,
pas besoin d'écrire.
mardi 3 août 2010
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