Chacun est libre de pré tendre la vie et la mort,
une tragédie déchirante, un roman à la rose, un coupe _ papier, un rasoir électrique, chacun peut y voir dans les angles, les ronds et les carrés, nous sommes tous saisis par les images de notre vie , des lames sur lesquelles nos talons claquent , glissent, chutent, des sons, des formes que nous n'avons pas maîtrisés, il n'en reste pas moins que la mort est burlesque, et la mienne l'est aussi , chacun se tranchant le gorge à soi petit et grand, au choix .
Grand -père est mort en faisant des claquettes, j'imagine à mon plus grand plaisir qu'il en fait encore.
Le burlesque est tendre, amour s'il en fut, amour il est. Il ne confondait pas la danse et la scène, il dansait.
Je suis à l'école buissonnière.
La mort n'a pas de camp , elle n'a que des mauvais partisans.
Parce que la mort est insupportable, nous mangeons tous les jours à la même table.
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