Quelquefois nous verrons le soleil tomber lentement à la mer
un oiseau foudroyé de sang de liqueurs et de roses
manger ces pâleurs de poitrines
ce pays que je n'ai pas quitté.
De ces orages qui éclatent
que rien ne laisse prévenir
de ces nuages écarlates
qui battent au cou des fleurs de pluie.
Marcher et descendre la dune
serait déjà t'étreindre sur mon coeur.
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