Par la fenêtre , je vois des choses si belles,
les yeux mangent la figure.
Tes yeux de loup gris aux nuages d'or.
Dehors la forêt de glace brisée d'opaline aux étriers
j'ignore pourquoi ni comment
de ces rencontres qui s'abattent
une immensité de ciel dans un grand champ
les yeux qui mangent la figure
les nuages qui pâturent au soleil
ce silence qui monte aux arbres la bouche bleue.
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